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Comprendre le stress.

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Véritable mal du siècle, le stress est l’un des fléaux de nos sociétés modernes, qui peut affirmer aujourd’hui n’avoir jamais été stressé ?
Mais d’abord de quoi parle-t-on exactement, qu’est-ce que le stress ?

Le mot stress est aujourd’hui assez galvaudé, car on l’emploie pour expliquer tout un tas de choses.
Or, il est important de savoir précisément de quoi il s’agit, d’autant plus que le stress n’est pas seulement négatif, mais il existe un « bon » et un « mauvais » stress.

Qu’est ce que le stress ?

Dans l’étymologie, le mot stress vient du mot latin stringere qui signifie « serrer » « lier » et qui a donné naissance au verbe étreindre. Un autre mot vient de stringere le mot détresse qui évoque un sentiment d’impuissance et d’abandon face à une situation difficile.
Selon le dictionnaire, « le stress est un emprunt à l’anglais, qui signifie en premier lieu : épreuve, affliction et également pression, contrainte, surmenage ».

Le stress se traduit comme la réaction de l’organisme pour faire face à une situation particulièrement éprouvante ou considéré comme telle.

C’est Hans Selye qui dans les années 30 est à l’origine du mot stress qu’il a d’abord appelé syndrome général d’adaptation. Hans Selye différenciait le bon stress « eustress » du mauvais stress « distress » et grâce aux travaux de ce médecin canadien, on comprend mieux les mécanismes du stress.

 

Selon Hans Selye, le stress, c’est la vie et puisqu’il fait partie de la vie, il faut apprendre à l’apprivoiser.

« Adopter la bonne attitude peut changer le mauvais stress en bon stress. »

Distinguer le du bon stress du mauvais stress :

Le BON stress, le stress aigu ou « eustress » :

Il survient lorsque nous sommes en face d’un danger immédiat, d’une situation qui nécessite une réaction de notre part : « fuir » ou « lutter » (fight or flight d’après Walter Cannon). La réponse fuir ou lutter permet de mettre fin à la situation à l’origine du stress. Ce stress survient donc de manière ciblée, ponctuelle, c’est un phénomène naturel et utile puisqu’il nous permet de répondre de manière plus efficace et adaptée aux situations nouvelles et/ou imprévisibles.

Le MAUVAIS stress, le stress chronique, le ou « distress »:

Lorsque nous sommes exposés au stress de manière répétée et permanente cela provoque l’apparition d’un stress chronique qui peut s’installer durablement.

L’organisme mobilise beaucoup d’énergie pour faire face à cette situation vécue comme stressante. Cela peut mener à un épuisement général de l’organisme allant jusqu’à déclencher des problèmes de santé.

 

Dès que l’équilibre de l’organisme est menacé, le système d’alarme s’enclenche.

À partir du moment où le corps détecte une menace provenant de l’environnement qu’elle soit réelle ou imaginaire, d’ailleurs, un système d’alarme interne se met en route.
Il existe au sein de notre système nerveux une région spécifique (le locus ceruleus) qui est chargée du maintien de la vigilance, elle est sensible à tous les stimuli internes et externes. Cette région va déclencher une cascade de réactions hormonales notamment via l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien, qui vont par ricochet impacter différents organes du corps.
L’objectif de l’organisme, quelles que soient les situations qu’il traverse, est l’équilibre de toutes ses fonctions que l’on appelle homéostasie. Pour maintenir cet équilibre, il va devoir s’adapter plus ou moins longtemps à la situation de stress.

Les mécanismes du stress en 3 phases.

1. La phase d’alarme :

L’organisme prépare une réponse à la situation stressante, soit la fuite ou le combat (bien qu’une troisième situation peut être parfois observée : « freeze response » c’est-à-dire la paralysie). Dans cette phase, toutes les ressources de l’organisme sont mobilisées. La fréquence cardiaque ainsi que la tension artérielle augmentent, l’organisme mobilise toute son énergie (mobilisation de toutes les sources de glucose), vasodilatation dans les muscles, inhibition de certaines fonctions considérées secondaires dans l’urgence de la phase d’alarme (digestion, croissance, reproduction, immunité…).

Lorsque la réponse adéquate est apportée à la situation cette phase d’alarme prend fin et met fin au stress.

Dans le cas contraire, l’organisme entre dans une nouvelle phase :

2. La phase de résistance :

La situation de stress n’a pas pris fin, la tension se prolonge et le stress pose problème. L’organisme résiste du mieux qu’il peut en consommant toujours plus d’énergie afin d’éviter une « surchauffe ».

3. La phase d’épuisement :

À ce stade, la phase de résistance a duré tellement longtemps que l’organisme est débordé. Le stress chronique a épuisé toutes les ressources, toutes les réserves d’énergie sont consommées, l’équilibre interne n’est plus assuré. Ce stress chronique a des conséquences sur l’état de santé, entraînant des troubles physiques (risques cardio-vasculaires par exemple) mais également des troubles psychiques (perte de sommeil, déprime, états dépressifs…).

 

 

Symptômes d’un stress chronique :

Ces divers symptômes apparaissent en quelques semaines et impactent différentes sphères :

La sphère émotionnelle : sensation de mal-être, nervosité, susceptibilité accrue, sensibilité, crises de larmes, angoisse, tristesse, irritabilité, dépression…
La sphère intellectuelle : difficultés de concentration, oublis, indécision, difficultés à prendre des initiatives, difficultés de mémorisation…
La sphère physique : maux de tête, douleurs musculaires, perte ou augmentation de l’appétit, troubles digestifs, transpiration excessive, sensation d’oppression, mais également risques cardiovasculaires, …
La sphère sociale et relationnelle : replis sur soi, éviction des relations sociales, besoin de recourir à des aliments ou produits calmants ou excitant (sucrerie en excès, café, alcool, tabac, somnifères, médicaments, stupéfiants…)

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Comment gérer mon stress ?

Les solutions il en existent beaucoup, elles sont à adapter à chacun d’entre nous en fonction du stade où nous sommes face au stress et surtout en fonction du terrain de chacun.

  • Une alimentation anti stress (vous pouvez retrouver dans mon prochain article comment adopter alimentation anti stress).
  • Les techniques respiratoires :

la cohérence cardiaque, formidable outil à intégrer dans sa routine quotidienne.

la respiration abdominale, c’est la respiration automatique inné dont on a perdu le réflexe en grandissant.

  • La sophrologie
  • La reflexologie
  • Les plantes :

Il existe une multitude de plantes qui ont une action rapide et ponctuelle sur la problématique du stress (voir la mélisse par exemple).

  • Les plantes adaptogènes:

Ce sont des plantes qui augmentent les capacités de défense de l’organisme en réponse à un stress physique ou psychologique.
La rhodiole, le ginseng, l’éleuthérocoque, l’ashwaghanda pour ne citer qu’elles, elles seront à adapter à la phase de stress ou se trouve l’intéressé. En savoir plus.

  • Les huiles essentielles :

l’huile essentielle de lavande vraie
l’huile essentielle de petit grain bigaradier
l’huile essentielle de de camomille romaine
l’huile essentielle de marjolaine à coquille

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